Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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mardi 30 août 2016


Soigneurs de terres

 
Diffusé le dimanche 28/08/2016   Durée : 00h40

sur

francetvinfo

 


 
Soixante-dix ans d'agriculture industrielle intensive ont épuisé les sols français. Les rendements baissent et les bonnes terres réduisent comme peau de chagrin. Produits chimiques à gogo et labours agressifs les font disparaître hectare après hectare. Et si la France, vieux pays agricole, se couvrait de champs devenus infertiles dans le prochain quart de siècle ?

La valeur nutritionnelle des fruits, légumes et céréales diminue au fil des traitements à répétition qui leur sont infligés au nom de la productivité et de la rentabilité. Et si la culture paysanne et les pouvoirs publics, contre l'avis de puissants lobbies, changeaient en profondeur pour mettre un terme à ce désastre agricole, sanitaire et environnemental ? Certains pionniers sont déjà au travail pour inverser la tendance. 

Le choix de l’agro-écologie


Le magazine "13h15 le dimanche" (FacebookTwitter#13h15) diffusé sur France 2 a rencontré les "médecins des sols" Claude et Lydia Bourguignon. Ces biologistes affirment que "l'agriculture conventionnelle est un massacre pour les sols… Elle anéantit leur fertilité". Ils trouvent des remèdes pour soigner les terres exsangues. Jean-Christophe Bady, "repenti" de l'agriculture intensive, n'utilise ni engrais ni pesticides pour des raisons de santé et fait le choix de l’agro-écologie… sans recevoir d'aide de l’Etat.

Emmanuelle Chartoire, Clément Montfort, David Geoffrion et Mathieu Houel ont suivi le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, pour qui le modèle agro-écologique n’a que des avantages : plus sain, moins cher, durable et même plus productif ! Le maraîcher normand Charles-Hervé Gruyer exploite depuis une dizaine d'années une ferme agro-écologique de pointe, au rendement dix fois supérieur à celui d’un maraîcher classique. Les pionniers du changement sont déjà à l'œuvre, aux petits soins du bien commun des hommes, la Terre.


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Claude Bourguignon

Claude Bourguignon, né en 1951 à Paris, est un ingénieur agronome français, ancien collaborateur de l'INRA. Fondateur du LAMS (Laboratoire d'Analyse Microbiologique des Sols)[1], il travaille en France, mais aussi en Europe, en Amérique et en Afrique.

Il est parmi les premiers, dans les années 1970, à avoir alerté sur la dégradation rapide de la biomasse et de la richesse des sols en micro-organismes (bactéries et champignons microscopiques), ainsi que sur la perte d'humus et de capacité de productivité des sols agricoles européens, ou des sols auxquels on appliquait les mêmes méthodes en climat tropical ou subtropical. Il a contribué à développer des techniques alternatives qui se sont avérées très efficaces, mais qui demandent une bonne technicité et connaissance du fonctionnement écologique des sols.

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Bourguignon

 
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Une vidéo-témoignage datant du 4 mai 2008 de  Claude Bourguignon, ingénieur agronome :


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Dans le LOT-ET-GARONNE

PRODUCTEUR DE POIVRONS, IL A ARRÊTÉ LE TOUT-CHIMIQUe

LOT-ET-GARONNE - Par PAUL SALIN
Publié dans le SUD-OUEST du 25/08/2016

L’installation d’un couvert végétal a permis à Christian Baudas de sauver son exploitation de poivrons. © photo p. s

Sa terre se mourrait et ses rendements chutaient. Pour empêcher son exploitation de poivrons de couler, le Lot-et-Garonnais Christian Baudas a changé ses méthodes et est passé à l'agro-écologie.
Aujourd'hui, la meilleure amie de sa production, c'est l'araignée

 
Lire la suite sur :

  

mercredi 24 août 2016


A QUI APPARTIENT L'EAU DE NOTRE PLANETE ?


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Nestlé et le business de l'eau en bouteille




http://www.arte.tv/guide/fr/041127-000-A/nestle-et-le-business-de-l-eau-en-bouteille

Rediffusion sur ARTE le vendredi 26 Aout à 9h25 -
Durée : (89 min)

Comment transformer de l'eau en or ? Une entreprise détient la recette : Nestlé, multinationale basée en Suisse, leader mondial de l'agroalimentaire, grâce notamment au commerce de l'eau en bouteille, dont elle possède plus de soixante-dix marques partout dans le monde (Perrier, San Pellegrino, Vittel ou Poland Spring aux États-Unis). Pour le président du conseil d'administration, Peter Brabeck, l'eau, fer de lance d'une stratégie planétaire, peut " garantir encore cent quarante ans de vie" à l'entreprise. Malgré le refus de répondre de la direction de Nestlé, Res Gehriger et Urs Schnell dévoilent les coulisses de ce marché qui brasse des milliards. Des États-Unis au Nigeria en passant par le Pakistan, ils explorent les circuits de l'eau en bouteille, mettant en lumière les méthodes parfois expéditives du plus puissant groupe agroalimentaire de la planète. Ils montrent qu'elles reposent sur une question cruciale, objet dans nombre de pays d'un vide juridique dont les avocats et lobbyistes de la firme savent tirer profit : à qui appartient l'eau ?


Bien public, gains privés

À Fryeburg, dans le Maine, un tribunal a autorisé Nestlé à ouvrir une deuxième station de pompage, alors que les habitants s'étaient mobilisés pour tenter d'empêcher ce qu'ils considèrent comme un pillage de leurs ressources collectives. Dans la première, installée sur un terrain privé, la multinationale paie dix dollars au propriétaire pour 30 000 litres d'eau... Mais si, aux États-Unis, le groupe s'efforce de se concilier les populations en se montrant "bon voisin" (quitte à leur offrir en bouteilles l'eau qui coule de leurs robinets !), il ne prend pas les mêmes gants avec les villageois démunis du Pakistan. Ceux qui, dans la région de Lahore, ont demandé par pétition à pouvoir bénéficier de l'eau pompée sur leur nappe phréatique par l'usine Pure Life, filiale de Nestlé, n'ont pas eu de réponse.* Dans le sillage de Res Gehriger, présent à l'écran, cette enquête minutieuse aux images soignées donne la parole à de très nombreux protagonistes sur trois continents, usagers ou militants, adversaires et partisans de Nestlé. Peter Brabeck lui-même y défend avec vigueur son point de vue (éloquent, comme quand il qualifie d'"extrémiste" l'idée que l'eau doit rester un bien public), par le biais de ses nombreuses interventions publiques.

* Entretemps Nestlé a fait réaliser un puits d'eau potable pour les habitants de Bhati Dilwan. L'accès à cette eau est gratuit pour les villageois.

 Le journaliste Res Gehriger enquête aux États-Unis, au Pakistan et au Nigéria pour comprendre et démonter les stratégies de ce puissant groupe ..
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Pour un complément d'informations :
 
 

samedi 13 août 2016


PATRIMOINE NATUREL & TOURISME

 SCIENCE - MEDIA - SOCIETE

 Quelles fragilités et opportunités pour les territoires ?

 
Retour sur la conférence-débats organisée par le Comité de Vigilance et la Ville de Biscarrosse  le samedi 25 juin 2016 au Centre Culturel l’Arcanson à Biscarrosse-Ville.

A. Enregistrement vidéo de Thierry Lazo, membre du  Comité de vigilance de Biscarrosse :
 
 
 
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B. Reportage d' Hervé Delrieu de  F.G.L :
 
 
"Petite assistance mais conférence pertinente du Comité de vigilance de Biscarrosse"
Louise Poupin, chargée de mission auprès du Grand site de la dune du Pilat.
Photo Hervé Delrieu.FGL
 
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C. Article de Christine Lescoutte-Gardent journaliste du SUD OUEST LANDES :
 
Les conférenciers ont répondu aux questions du public©photo C.L.-G.
 
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Commentaire de Jean-Marc Vigneaux, coordinateur du Comité  de Vigilance de Biscarrosse : un public clairsemé ce samedi de juin dans la grande et belle salle de l’ARCANSON pour cette conférence débat.
Elle méritait un public plus nombreux pour éclairer et débattre des politiques possibles en matière de développement touristique.
Mr DUDON en avait accepté l’enjeux et je l’en remercie.
Je remercie vivement les conférenciers pour la qualité de leur intervention et l’intérêt qu’ils ont bien voulu manifester par leur présence au Comité de vigilance de Biscarrosse.
Qu’il me soit permis également de remercier les services de la Mairie et ceux de l’office du tourisme pour la mise à disposition de leurs compétences.
Qu’il en soit de même pour Fréquence Grands Lacs, en la personne d’Hervé DELRIEU, qui sait avec brio animer le débat des idées.
LECLERC, l’Association des Propriétaires de la plage, ainsi que l’Association du Surf Casting, nous ont permis d’assurer la convivialité qu’il convenait.
Je souhaite enfin dans mes remerciements accorder une place toute particulière à Thierry LAZO qui par la magie de l’image numérique peut permettre à tout un chacun de retrouver la qualité des interventions de cette conférence



 
 
 

mardi 9 août 2016

La Biodiversité menacée sur la planète "Terre"

 par l'activité humaine

(Pour une très large diffusion auprés de vos contacts)

Retrouver l'intégralité du reportage dans le GEO de juin 2016 (N° 448) :

Singe au Barbecue

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La surpêche industrielle participe également à la disparition des espèces marines

Pour plus d'informations :




Plus prêt de chez nous :

La biodiversité marine du Bassin d'Arcachon et du littoral aquitain ne sont pas épargnées…

Il n'y a pas que les couteaux (coquillages fouisseurs) qui disparaissent…

 Avec Patrick RANSINAN :


Ne manquez pas de lire la lettre du "COLLECTIF AQUITAIN CONTRE LES REJETS EN MER" regroupant 27 associations à Monsieur le Sous-préfet du Bassin d'Arcachon le 28 décembre 2008.

Avec Philippe GARCIA :


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Pour évoquer vos témoignages ne manquer pas le colloque qui doit avoir lieu le :

15 novembre 2016 à l'Hotel de région - Bordeaux
 


À vos agendas !
  L'Agence Régionale pour la Biodiversité en Aquitaine organise un séminaire sur le thème:

"Agir pour le patrimoine naturel : des contraintes aux opportunités pour les territoires aquitains."

Agence Régionale pour la Biodiversité en Aquitaine, 87 quai de Queyries, 33100 BORDEAUX, animation@aquitaine-arb.fr, 09 80 91 06 46

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Définition de la biodiversité :


René Capo

 



mercredi 3 août 2016


"Le retour à la terre"

 des Fatals Picards

 Pour trouver le tube de l'été 2016  ?

 C'est simple, vous allez sur le blog de Cathy LAFON, journaliste à Sud Ouest :

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