Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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mercredi 18 avril 2018


"WHITE WAVES"
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Un film-documentaire sur les surfeurs qui luttent contre la pollution des océans.
Durée : 01:30:00
Genre : Documentaire

Vous êtes tous invités(es) à la projection du film

Projection organisée par Surf Nights et la CEBA (Coordination Environnement du Bassin d'Arcachon)...
où l'on peut découvrir les actions de protection de l'environnement de ces associations sur le Bassin,
mais aussi tout le travail qui est fait par les surfeurs qui luttent contre la pollution des océans en Europe".


Projection présentée et animée par Thomas Laprêle, président de l’association Surf Nights,
suivie d’un échange avec des acteurs locaux de la protection du littoral.


le jeudi 26 avril 2018 à 21 h

Place du marché - La Hume, 33470 Gujan-Mestras


                                   Prix des places : 5 €

 
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Notre amour pour la mer nous a motivés à faire ce documentaire…


Inka Reichert , la réalisatrice
Image associée


Un jour, quelques petits anneaux de plastique apparaissent sur la plage de Guéthary sur la côte Ouest française. Les jours passent, il y en a de plus en plus, bientôt des centaines de milliers. François Verdet surfe sur les vagues de cette plage durant toute l’année. Il est choqué. Le surfeur voit ces petits objets de plastique pour la première fois de sa vie.
D’où viennent-ils? François ne parviendra pas à dormir tant qu‘il n’en aura pas trouvé l’origine...

Détritus, eaux usées, produits industriels et chimiques – tous finiront dans l’océan, le plus souvent sans que personne n’en ait entendu parler.
Mais quelques uns observent et sentent chaque jour la pollution avec leur propre corps: les surfeurs.
Dès qu’il y a de la houle, ils prennent leur planche et vont surfer en été et en hiver. L’eau est leur vie et ils veulent la protéger. Leur amour de la nature leur donne la force de sortir, enquêter et partir à la recherche des sources de pollution. Ils font des recherches scientifiques dans la mer et les fleuves. Aujourd’hui, ils commencent à en parler aux personnes impliquées, aux hommes politiques et à l’industrie. Au besoin ils vont devant les tribunaux.

L’équipe de White Waves a voyagé deux ans à travers l’Europe pour rencontrer ces surfeurs et divulguer des cas de pollution maritime dont l’origine est souvent inconnue, que ce soient des millions de petits anneaux de plastique ou des bactéries pathogènes dans l’océan.
Elle a choisi le crowdfunding comme financement pour leur projet, afin d’être totalement indépendante.

Toujours curieuse, Inka Reichert combine sa passion pour la science, la nature et les voyages à son travail de journaliste scientifique. Née en Allemagne, en 2012, elle a déménagé à Valence pour vivre près de la mer - ce qui était son rêve depuis toujours. 
White Waves est né d’une autre de ses passions: le surf. 
Ce documentaire lui permet non seulement de faire des enquêtes sur la pollution souvent invisible dans nos océans, mais aussi de montrer que l’amour de la nature des surfeurs peut avoir un effet positif. 

Caméra & montage/ Carlos Toro et Inka Reichert, son: Jesús Rodríguez, musique originale : Jordi Wheeler et Jesús Rodríguez   

Prix :
- Prix du public, International Surf Film Festival Anglet 2016
- Premio Compromiso por el Cambio, Surfari Festival de Cine Cocumental de Surf de Andalucía.

- Le “JURY SPECIAL” au Mimpi Film Festival, Rio de Janeiro au Brésil.



White Waves a été présenté en Corée 
et aux Canaries

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Inka Reichert, la réalisatrice et le caméraman Carlos Toro furent reçus à la Mairie de Biscarrosse le 17 avril 2015
Inka Reichert à la Mairie de Biscarrosse avec Alain Dudon, Maire de Biscarrosse et président du Comité de vigilance en présence 
René Capo
·       Photo réalisée à la Mairie de Biscarrosse par José Cervera de Naviguer En Aquitaine : http://www.naviguerenaquitaine.com/

Venez nombreux pour visionner ce film-documentaire réalisé par des surfeurs venus d’Espagne pour recueillir et filmer le témoignage  de surfeurs et pêcheurs du  littoral aquitain sur une pollution marine par les plastiques, véritable fléau planétaire
Les rejets du Wharf de La Salie seront également évoqués...
Merci à Inka et à ses amis surfeurs, ils méritent nos  encouragements.
(POUR UNE TRES LARGE DIFFUSION AUPRES DE VOS CONTACTS)

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lundi 16 avril 2018


L'ASSAINISSEMENT DES EAUX 

Les eaux usées au cœur du débat


Publié le 13/04/2018 à 3h47 par Christine Lescoutte-Gardent.

Les conférenciers ont répondu aux questions du public sur le thème de l’assainissement de l’eau.
PHOTO CH. L.-G.

Pour lire l’article de Christine Lescoutte-Gardent, journaliste au SUD-OUEST :




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Avec FGL 


Les biscarrossais savent désormais ce que deviennent leurs eaux usées…

Sylvain Lacoste et Jean-Marc Vigneaux
Photo FGL
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Au cinéma « Atlantic » de Biscarrosse-plage les problèmes liés au traitement des micropolluants ont été largement abordés par des intervenants de qualité.

Le public était clairsemé, pourtant la lutte contre les micropolluants constitue l’un des plus grands défis actuels en matière de protection des eaux.

Merci à Dominique Ducasse, adjoint à l’Environnement au Conseil Municipal de La Teste, qui n’a pas hésité à faire le déplacement pour venir à Biscarrosse s’informer sur un sujet qui concerne à terme notre santé et celle des générations futures.
Il était impliqué le 31 mars 2018 pour l’Opération Plage Propre de La Teste avec prés de 500  volontaires pour un nettoyage sur 30 kms de Plage.



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QUE FAIT L’ETAT ?


Pour préserver la  qualité des eaux et la biodiversité, un « Plan micropolluants 2016 – 2021 »  piloté par le Ministère de la transition écologique et solidaire a été mis en place afin  de réduire dès maintenant les émissions de micropolluants présents dans les eaux et les milieux aquatiques et dont la toxicité est avérée.

Ainsi, le ministère de l’écologie, de l’énergie et de la mer accompagné des ministères chargés de la santé et de l’agriculture ont décidé de développer un plan micropolluants pour la période 2016-2021 dont les actions sont préférentiellement tournées vers la réduction à la source des micropolluants.


Ne manquez pas de consulter les plaquettes suivantes :

http://www.onema.fr/sites/default/files/pdf/plan-micropolluants-2016-2021.pdf

https://www.ecologiquesolidaire.gouv.fr/sites/default/files/Plan_micropolluants_def_light.pdf


DEFINITION D’UN MICROPOLLUANT :
Un micropolluant peut être défini comme une substance indésirable détectable dans l’environnement à très faible concentration (microgramme par litre voire nanogramme par litre). Sa présence est, au moins en partie, due à l’activité humaine (procédés industriels, pratiques agricoles ou activités quotidiennes) et peut à ces très faibles concentrations engendrer des effets négatifs sur les organismes vivants en raison de sa toxicité, de sa persistance et de sa bioaccumulation. De nombreuses molécules présentant des propriétés chimiques différentes sont concernées (plus de 110 000 molécules sont recensées par la réglementation européenne), qu’elles soient organiques ou minérales, biodégradables ou non tels les plastifiants, détergents, métaux, hydrocarbures, pesticides, cosmétiques ou encore les médicaments.


Un ouvrage intitulé  « Que sait-on des micropolluants dans les eaux urbaines »   sera publié le 15 mai 2018.
C’est l’association ARCEAU qui pilote la réalisation et l’édition de cet ouvrage

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QUE FAIT LA SUISSE ?


La Suisse poursuit un combat exemplaire en équipant ses stations d’épuration de dispositifs modernes, parfois de fabrication françaises pour éliminer les micropolluants.

Elle privilégie la santé humaine à l'aspect économique.

La lutte contre les micropolluants constitue l’un des plus grand défis actuels en matière de protection des eaux, car de très faibles concentrations suffisent pour nuire aux organismes aquatiques.


Un exemple à suivre :

Les boues issues des stations d'épuration sont interdites d'utilisation en  épandage sur les terrains agricoles.

Les nappes phréatiques ( l’eau potable de demain ) seront ainsi mieux préservées de toutes contaminations



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"La pollution la plus facile à traiter est celle qu'on ne génère pas"


René Capo



jeudi 12 avril 2018


Stop aux labourages destructeurs des fonds sous-marins

Aidez-nous à préserver les fonds marins grâce à la fabrication d'une nouvelle ancre "Stop-Ancre" équipée d'un système breveté qui respecte l'éco-système des fonds sous-marins.

Dans ce projet, on vous explique tout ! 

Attention aucune ancre ne peut s'ancrer dans les prairies de phanérogames marines comme les zostères  sans les arracher.... le système Stop-Ancre" permet de rester à proximité de ces plantes sans riper dedans

                   https://ekosea.com/fr/projet/228-stop-ancre

Le professeur Henry Augier que le Comité de Vigilance de Biscarrosse avait reçu au cinéma Atlantic de Biscarrosse-Plage  en avril 2011 pour évoquer les rejets en mer des émissaires marins et plus particulièrement le Wharf de La Salie apporte son soutien à Alain MAURIN et sa nouvelle ancre écologique "Stop-Ancre" qui évite de porter atteinte aux prairies de phanérogames marines dont les zostères  et  détruisent les animaux, plantes et algues qui vivent dans le sable.


Cette ancre "Stop-Ancre"  convient également pour les lacs et les étangs.

Le professeur Henry Augier avait lui-même évoqué dans son ouvrage « LE LIVRE NOIR DE L’ENVIRONNEMENT » pages392 et 393 des mouillages fixes avec  un corps-mort qui repose au fond et l’utilisation d’une bouée intermédiaire pour éviter de labourer les fonds marins ce qui conviendraient parfaitement pour le Bassin d’Arcachon avec ses variations de hauteurs suivant les marées.  

   Le professeur Henry Augier avec Robert Refeyton,
membre du Comité de Vigilance de Biscarrosse


Présentation du professeur Henry Augier :