Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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mercredi 10 février 2016

"CLIMAT : Un scandale PLANÉTAIRE"
Le dernier livre du professeur Henry Augier
 Avril 2011
Le professeur Henry Augier et Robert Refeyton, membre du Comité de Vigilance de Biscarrosse après une visite au Wharf de La Salie
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Conférence du professeur Henry Haugier à Biscarrosse :
 La pollution de l’air par les gaz à effet de serre s’amplifie. La température de notre planète ne cesse d’augmenter. Les glaciers, la banquise, les calottes glaciaires ont commencé à fondre. La mer grossit et sa surface s’élève. Il n’est plus possible de nier la réalité de l’ensemble de ces phénomènes. Leur existence a été démontrée par une multitude de constats, d’expertises et de données scientifiques allant des clichés photographiques étalés dans le temps et de l’utilisation d’appareillages sophistiqués jusqu’aux données satellitaires d’une très grande précision.
 L’humanité et surtout ses dirigeants ne veulent pas prendre en compte l’ampleur du problème et de ses conséquences. On s’attend à un chamboulement des zones climatiques, des écosystèmes naturels, des espaces d’exploitation agricole et d’élevage, au dérèglement d’une mer dénaturée, appauvrie, dangereuse, à une perturbation générale de la biodiversité, à la disparition d’un nombre très élevé d’espèces végétales et animales. Des centaines d’îles et de nombreux rivages continentaux, certains pays même, vont disparaître, submergés par les flots, provoquant le déplacement de millions de réfugiés climatiques affamés et désespérés.
Cette menace a été examinée à l’occasion des sommets de la Terre et autres réunions internationales, mais les pourparlers n’ont pas abouti aux décisions nécessaires pour stopper le processus en marche. La conférence COP 21, qui vient de s’achever à Paris ‒ pourtant qualifiée de « réunion de la dernière chance » ‒ s’est encore soldée par un échec, laissant libre cours à un  processus qui ne va pas tarder à s’emballer et à devenir irréversible. Pourtant les moyens d’arrêter un tel désastre existent et il aurait fallu les mettre en œuvre sans délai, avant qu’il ne soit trop tard.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Le 11 décembre se clôturait la COP21. Dans Climat, un scandale planétaire, Henry Augier retrace les étapes qui ont mené à ce que certains ont surnommé le « sommet de la dernière chance ». L’auteur remonte à la source du problème en expliquant les tenants et aboutissants du réchauffement climatique : en identifiant les principaux gaz polluants tels que le méthane, l’ozone et le carbone, mais aussi en résumant les sommets mondiaux qui ont précédé la COP21 depuis la première conférence mondiale sur le climat à Genève en 1979, en passant par la première conférence des parties à la Convention sur le climat (COP) en 1995 jusqu’au sommet du G7 en juin 2015. Cette récapitulation nous permet de mieux prendre conscience des réussites, mais surtout des échecs de ces sommets et des protocoles qui y ont été ratifiés à l’image du protocole de Kyoto.
Et si l’olivier venait coloniser la vallée du Rhône, et que la Côte d’Azur et la Provence prenaient des allures de Maroc ? Si des îles entières sombraient sous les mers et que les arbres que nous connaissons –hêtre, épicéa, etc. – disparaissaient ? Autant de visions apocalyptiques qu’Henry Augier rend bien réelles et qui nous rappellent que notre comportement vis-à-vis de notre planète doit changer radicalement au risque de perdre notre écosystème tel qu’il existe aujourd’hui.
Enfin ce livre dresse un bilan de la COP21, en montrantque bien que cette dernière ait été l’occasion de grandes avancées en termes d’intentions, en réalité, les engagements que chacun des États ont pris seront difficiles à respecter.
Certains, à l’image de la Grande-Bretagne dont le Parlement a autorisé l’utilisation du gaz de schiste au lendemain de la COP21, ont déjà failli.
C’est un portrait réaliste que nous propose Henry Augier, qui par ce texte nous met en face de nos propres contradictions dans notre lutte pour sauver notre planète.
 
 Format : 13 x 21 Nb de pages : 224 Prix : 15 €
Libre & Solidaire
Contact presse : Tatiana Mabita – 01 48 74 15 23
19, rue Ballu – 75009 Paris
Henry Augier est l’auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique consacrés aux dangers majeurs qui nous menacent. Docteur d’État, maître de conférences honoraire à la faculté des sciences de Marseille-Luminy, professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, Henry Augier a été à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances. Il fut également responsable de l’enseignement de la molysmologie (science des pollutions) à l’université de la Méditerranée et expert consultant international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature.
Engagé dans de nombreuses actions de sauvegarde de notre environnement, il continue à oeuvrer au sein d’associations pour une meilleure qualité de vie et pour tenter de laisser aux générations futures un monde tolérable.
 
 

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