Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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mardi 23 avril 2019


Plastique :
comment peut-il se retrouver dans la neige ?
INVITÉ RTL - Des chercheurs viennent de faire une inquiétante découverte dans les Pyrénées : de la neige composée essentiellement de matière plastique. Elle est issue "de la dégradation de plastiques à usage unique", explique Gaël Leroux, auteur de l'étude.
3 minutes pour comprendre 

  

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Commentaires :

Ce n’est pas un poisson d’Avril !

Mais sans doute l’un des plus grand désastre écologique planétaire de l’histoire de  l’humanité ?

Nous y sommes…

Après la présence des microparticules de plastique dans la chair des poissons… et autres coquillages…
et
des nano particules dans l’alimentation…

Voici venu le temps des microparticules de plastique dans les flocons de neige…et dans eaux pluviales

Sachant qu’une partie de ces eaux de pluie et de cette neige fondue en montagne est destinée à alimenter nos sources profondes…

(L’eau minérale de demain…)

Cette situation, n’est pas le fait du hasard, ni de la fatalité, mais le fruit d’un silence et d’une imprévoyance coupable…



Pour plus d’informations :





A DIFFUSER SANS MODÉRATION

jeudi 18 avril 2019


L’EAU SOURCE DE VIE !
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A ) « Pas de déni, il faut économiser l’eau »

B ) Les lacs et rivières du Sud-Ouest pollués aux pesticides et perturbateurs endocriniens

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A ) ZONE LITTORALE   :
"Pas de déni, il faut économiser l’eau"
Alerte l’agence Adour Garonne

Publié le 14/04/2019 à 15h03. Mis à jour à 18h41 par Jean-Denis Renard


La population saisonnière prend sa part de consommation d'eau - ARCHIVES JEAN-DANIEL CHOPIN

La ressource en eau baisse du fait du réchauffement climatique et la population grimpe. La zone littorale ne sera pas épargnée par les possibles pénuries
« Un diagnostic inquiétant », c’est ce que souhaitait partager l’Agence de l’eau Adour Garonne avec l’ensemble des acteurs concernés de la façade littorale (de la Charente-Maritime au Pays basque), vendredi à Pessac, en banlieue de Bordeaux. Même si les territoires proches de l’Atlantique ne sont pas les plus concernés par d’éventuelles pénuriesdans l’avenir, l’intégralité du bassin Adour-Garonne est menacée.

« Les études qui ont été menées jusqu’alors étaient basées sur un réchauffement du climat de2 °C dans le courant du siècle. Celles qu’on engage maintenant retiennent comme référence3,5 °C d’augmentation des températures moyennes, conformément à la trajectoire actuelle. Et les problèmes relatifs à la ressource en eau seront hélas plus lourds à gérer. Je ne veux pas me montrer anxiogène mais il faut dire les choses. Un changement d’habitudes est impératif. Ne soyons pas dans le déni : il faut économiser l’eau », avertit Martin Malvy, le président du Comité de bassin Adour Garonne (qui oriente l’action de l’Agence de l’eau).

Changements climatiques en Adour-Garonne : notre avenir passe par l'eau !




Pour lire la suite de l’article du Sud Ouest :
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 -       B) Les lacs et rivières du Sud-Ouest pollués aux pesticides et perturbateurs endocriniens
Publié le 16/04/2019 à 18h20. Mis à jour le 17/04/2019 par SudOuest.fr avec AFP.


Des milliers d'analyses ont été effectuées dans des lacs et cours d'eau aux quatre coins de France.
ILLUSTRATION SO/EMILIEN GOMEZ
L’association Générations Futures a épluché des milliers d’analyses effectuées dans les cours d’eau français. Elle dresse un bilan alarmant de leur pollution aux pesticides et perturbateurs endocriniens. Le Sud-Ouest n’est pas épargné.

Pour lire la suite de l’article du Sud Ouest :


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Ces deux graves problèmes avaient été évoqués à Biscarrosse à l’occasion des journées techniques des 17 et 18 octobre 2018 organisées par l’Agence-Adour-Garonne. 
"Lacs et étangs du littoral aquitain - Un territoire unique, l'implication de tous"

vendredi 12 avril 2019


Ces déchets plastiques qui prolifèrent dans nos fleuves et nos rivières
Pollution de la rivière Jukskei, à Johannesburg en Afrique du Sud. Photo AFP

La pollution par le plastique est l'un des fléaux majeurs des océans. Pour lutter efficacement contre ce phénomène, mortifère pour la biodiversité et dangereux en fin de course pour la santé humaine, mieux vaut s'y attaquer avant qu'ils n'atterrissent dans la mer. Autrement dit, dans les cours d'eau, qui transportent environ 80 % des déchets plastiques marins : les fleuves déversent entre 1,15 et 2,41 millions de tonnes de plastiques chaque année dans les océans, soit environ 50 kg par seconde.De nombreux experts estiment que concentrer les actions de lutte contre la pollution plastique sur les fleuves et rivières est l'une des solutions les plus efficaces.Un nouveau rapport publié par Earthwatch Europe révèle ainsi que 37,5 % des déchets retrouvés dans les cours d’eau européens sont des déchets plastiques directement liés aux produits de consommation courante. Parmi ces déchets plastiques, les plus répandus sont les bouteilles en plastique (14 %) et les emballages alimentaires (12 %). On retrouve ensuite les mégots de cigarette, les boîtes alimentaires à emporter, les cotons-tiges et les gobelets. Pour lire la suite se rendre sur le Blog « Ma Planète » de Cathy Lafon, journaliste à SUD-OUEST :
 http://maplanete.blogs.sudouest.fr/archive/2019/04/10/ces-dechets-plastiques-qui-proliferent-dans-nos-fleuves-et-n-1070290.html#more