Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


Si vous désirez recevoir les articles de presse associés aux différents topics de ce blog, vous pouvez les demander aux courriels suivants : rcapo@orange.fr et eric.capo@hotmail.fr

Pour vos recherches, nous vous conseillons l'utilisation de l'onglet "Recherchez"

mercredi 29 octobre 2014

16 octobre 2014 Déchets dangereux : une bombe à retardement ?

DÉCHETS DANGEREUX : UNE BOMBE À RETARDEMENT ?
TOXIQUE !

Que faire des déchets ultimes ?
Ce documentaire  d' Alexander Schlichter et Davina Weitowitz (Allemagne 2014) a été diffusé sur ARTE le vendredi 19 septembre  (durée 53 min)
Pour le visionner cliquer sur :



Si le stockage définitif des déchets nucléaires est une question récurrente dans le débat public, pas un mot sur les déchets ultimes, ni sur les conséquences d’un stockage définitif impropre. Cependant ces déchets scories des usines d’incinération comptent parmi les plus toxiques du secteur industriel.

Une enquête sans concession sur la gestion des déchets toxiques.

Déchets dangereux : une bombe à retardement ?

De nombreux déchets ne sont pas traités et stockés correctement : l'impact pour les générations futures risque d'être lourd.

Les solvants, les restes de peinture, les vieilles piles et les "déchets ultimes", scories des usines d’incinération de déchets, comptent parmi les rebuts les plus toxiques du secteur industriel. Produits en masse, ils contiennent des métaux lourds, comme le cadmium, le plomb, le zinc ou le cuivre à des concentrations dangereusement élevées. Des substances qui, si elles sont rejetées dans l'environnement, peuvent pénétrer dans le corps humain par le biais de l’air, de l’eau ou de la nourriture et causer de graves dommages à la santé.
Après onze ans d’inactivité à la suite d’un incendie, StocaMine, l’ancienne mine de sel alsacienne reconvertie en centre d’enfouissement des déchets toxiques, doit être définitivement fermée afin de préserver l’environnement.

Ailleurs, il est parfois déjà trop tard, comme à la décharge de Kölliken en Suisse, où les substances toxiques ont contaminé les réserves d’eau, ou dans la région de l’ancienne décharge de Schönberg, qui connaît une recrudescence alarmante de cancers. Si le stockage définitif des déchets nucléaires est une question récurrente dans le débat public, pas un mot sur les déchets ultimes, ni sur les conséquences d’un stockage définitif impropre.

Une enquête à charge en forme de jeu de piste, qui révèle bien des erreurs et des négligences soigneusement étouffées, pour se pencher sur des initiatives visant à résoudre ce casse-tête empoisonné.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire