Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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jeudi 21 septembre 2017


LES NANOPARTICULES

 
UN DANGER POUR LA SANTE HUMAINE

1 °) Dans 60 millions de consommateurs :

C'est dans les bonbons, les gâteaux et autres produits…



 
2 °) Sur France Inter dans "La Tête au carré" par Axel Villard

Les encres colorées pour tatouages

Elles contiennent des nanoparticules d'oxyde de titane qui peuvent voyager dans le corps.

Une étude Franco-Allemande le prouve


 
Mathieu Vidard

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On ne le dira jamais assez…

 
Avec les pollutions atmosphériques qui ne connaissent pas de frontières…les micropolluants, les microparticules de plastiques et les nanoparticules (1) représentent une véritable menace pour la santé humaine.
 

 (1) Les nanoparticules sont des éléments ayant une taille nanométrique, entre 1 et 100 nanomètres (1 nanomètre est 1000 millions de fois plus petit qu'un mètre). L'échelle est de l'ordre des molécules.

Utilisées dans tous les domaines depuis les années 90, les nanoparticules sont de plus en plus présentes dans notre quotidien (cosmétiques, peinture, électronique, informatique...)


 
 
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J'avais été invité en 2005 par Corinne Lepage, présidente de CAP 21 à Pézenas à l'occasion de l'Université d' Été de CAP 21.

Le thème central :

Les Nanotechnologies

 
Au cours de la conférence, les danger des nanoparticules au niveau de leurs fabrications et de leurs utilisations avaient en effet été signalées.

Il a fallu attendre 12 ans pour qu'un organisme de défense des consommateurs dénonce la présence de ces nanoparticules dans des bonbons, gâteaux et sans doute d'autres aliments...y compris dans les peintures colorées pour tatouages…

 

Pourquoi les pouvoirs publics n'ont-ils pas interdit l'utilisation de ces nanoparticules  dans l'alimentation humaine ?

 

On a préféré une fois de plus ou plutôt une fois de trop gardé le silence, comme c'est la coutume

pour ne pas affoler la population…

 

C'est à l'occasion de l'Université d'Eté de CAP 21 que j'ai fait la connaissance du professeur Dominique Belpomme, cancérologue à l'Hôpital Pompidou et président l'ARTAC.

(Association indépendante de médecins et de chercheurs, spécialisée dans l’étude biologique, thérapeutique et clinique des cancers.  C’est la seule association française de lutte contre le cancer à promouvoir une prévention environnementale.)


C'est au cours de cette rencontre que le professeur Dominique Belpomme a accepté de venir à Biscarrosse le 15 avril 2007 pour une conférence-débat au cinéma Atlantic.
 

Le thème :
 

"les substances chimiques - Quelles incidences sur notre santé"
 

La ville de Biscarrosse contribua largement à l'organisation de cette conférence-débat.

Déroulement de la conférence :

 
 
 
Hervé Delrieu de FGL - Professeur Dominique Belpomme - Alain Dudon, maire de Biscarrosse et président du Comité de Vigilance de Biscarrosse


 

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Si vous souhaitez réagir contre cette malbouf vous pouvez dire aux industriels :
STOP aux nanoparticules
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Quelques informations sur le déroulement de l'université d'été de CAP 21 :
 
Corinne Lepage - Dominique Belpomme - Michèle Rivasi


Corinne Lepage - René Capo
 

mercredi 20 septembre 2017


Prix d'innovation à l’association "Tree6clope"
 
Un message d'Anne Domingo :
Bonjour à tous, 
l’association Tree6clope que je soutiens, vient d’être sélectionnée par "le Propulseur », prix pour des initiatives innovantes.
Pour obtenir ce prix et si le projet vous parle, nous avons besoin de votre vote et de votre partage.
En cliquant sur le lien ci-dessous vous cherchez tree6clope, vous votez et le tour est joué.
Le prix de 1500 euros nous aiderait, et la meilleure visibilité que cela pourrait nous amener serait vraiment top. 
Pour ceux à qui je n’ai pas encore expliqué la démarche de cette association, je vous mets un topo et une plaquette pour une meilleure compréhension.
Merci d’avance pour la planète.
Vous pouvez nous suivre sur notre page Facebook, merci de votre attention.
Anne 
 
 850.000 tonnes de mégots de cigarettes finissent chaque année dans la nature, soit le volume total du Mont-Blanc.
 
Au delà d'une simple pollution visuelle, c'est également une pollution organique et chimique considérable: 
  • chaque mégot jeté par terre pollue jusqu'à 500l d'eau
  • le filtre-en acétate de cellulose- (plastique) n'est pas biodégradable
  • un déchet sur deux sur les plages européennes est un mégot de cigarette
  • D'ici 10 ans, il y aura plus de plastique que de poissons dans l'océan.
  • Cependant, les mégots de cigarettes sont recyclables:
  • papier, tabac et cendre peuvent être recyclés en compost non-alimentaire
  • le filtre peut être re-transformé en plastique pour fabriquer, par exemple, du mobilier urbain.
  • Bien que ce recyclage ne soit pas rentable, cette pollution n'est pas inéluctable. Chez Tree6clope, nous pensons que chacun, à son niveau, peut faire quelque chose:
 Tree6clope a pour vocation de mettre en place un vaste réseau de collecte de mégots de cigarettes afin d'alimenter une filière de recyclage.
 Après 1 an d'existence, l'association Tree6clope, forte de quelques 200 adhérents, en constante augmentation, a déjà collecté plus de 2.500.000 mégots qui seront tous recyclés.
 
 
 

mercredi 6 septembre 2017


Du plastique caché dans l’eau du robinet

Une enquête scientifique diffusée par Orb Media montre que dans 12 pays du monde, l’eau du robinet est contaminée par des micro-plastiques.

Sur tous les continents, l'eau potable est contaminée par les micro-plastiques
 
Nous ne regarderons plus jamais notre verre d’eau de la même façon. En moyenne, 83% des échantillons prélevés à travers le monde montrent en effet qu’il contient des micro-plastiques invisibles à l’œil nu. La palme revient aux Etats-Unis avec 94% des échantillons prélevés contaminés, notamment au Congrès et au siège de l’Agence fédérale de protection de l’environnement (EPA) à Washington, ou encore ou à la Trump Tower de New York. Un taux aussi alarmant a été relevé au Liban.

72% DES PRÉLÈVEMENTS EUROPÉENS
Mais l’Europe (Allemagne, France et Royaume-Uni) est loin d’être indemne. Avec des micro-plastiques dans 72% des échantillons, elle abrite en moyenne 3,8 fibres plastique par litre d’eau potable.
 
EN AFRIQUE, ASIE ET AMÉRIQUE LATINE
L’Afrique, l’Amérique latine et l’Asie affichent des taux similaires: 81% en Ouganda, 75% en Equateur, 82% en Inde et 76% en Indonésie. Les 5 continents étant touchés, cette contamination affiche une ampleur exceptionnelle.
 
DES OCÉANS AU ROBINET
Cette étude est d’autant plus importante que jusqu’à présent, la littérature scientifique avait surtout détaillé l’étendue de la pollution aux micro-plastiques dans les océans et les fleuves ainsi que ses effets sur la faune marine«Nous avons suffisamment de données sur les effets des plastiques sur la faune sauvage. S’ils ont autant d’impact sur celle-ci, comment pouvons-nous penser qu’ils n’en ont pas sur nous?», s’interroge Sherri Mason, chercheure au département des sciences environnementales à l’université d’Etat de New York.
Réalisés pendant dix mois, les travaux d’Orb Media confirment également les résultats d’une étude menée en Irlande, qui a révélé en juin une contamination de l’eau du robinet et de puits par des micro-plastiques, selon The Guardian.
 
QUELS RISQUES SANITAIRES ?
Mais une inconnue persiste sur le plan sanitaire. «Nous ne connaissons pas encore exactement l’effet des micro-plastiques sur la santé humaine. C’est pourquoi nous devrions appliquer le principe de précaution et accentuer la recherche pour que nous puissions découvrir les risques réels», complète Anne-Marie Mahon, chercheure à l’institut de technologie Galway-Mayo, qui a étudié l’eau potable en Irlande. Selon elle, les micro-plastiques peuvent attirer des bactéries dans les eaux usées. Par ailleurs, ils absorbent les produits chimiques toxiques et peuvent ensuite les libérer dans le corps humain.
 
UN CHEMIN INCONNU
Autre inconnue: comment ces fibres ont-elles réussi à se glisser dans l’eau du robinet? Six pistes semblent se dégager: l’eau des machines à laver qui contient des fibres textiles plastique, les microbilles contenues dans les produits cosmétiques, les fibres synthétiques que l’on trouve dans l’air, les poussières issues des peintures, les micro-plastiques trouvés dans les océans, les fleuves et les lacs, ainsi que les poussières de styrène-butadiène émises par les voitures et les camions. Le système de filtration des eaux usées n’est par ailleurs pas assez précis pour bloquer des micro-particules de l’ordre de 10 microns. La pluie peut aussi contribuer à les répandre. Ce qui pourrait expliquer pourquoi les puits domestiques indonésiens affichent une aussi forte contamination (76% des prélèvements).
En juillet dernier, une étude a précisé l’étendue de la présence du plastique dans le monde. 8,3 milliards de tonnes de matières ont été produites depuis 1950, dont la moitié au cours des 13 dernières années. Avec un taux de recyclage de 9% en moyenne.
 
Source : JOURNAL DE L'ENVIRONNEMENT
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Et en France où en sont les études scientifiques sur la recherche des microplastiques dans l'eau potable ?

Si vous souhaitez réagir :

 
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