L'Andalousie : l'usine à légumes de
l'Europe
Il semblerait que nos dirigeants
européens ont choisi une certaine forme de courage…et d’abnégation
pour continuer à fermer les yeux. !
Pourtant la
situation est grave et cela se passe aujourd’hui en Europe, sous nos yeux…avec
une forme d’esclavage moderne sur une main-d’œuvre affamée et bon marché.
Sur le plan
sanitaire tout est à craindre pour la santé humaine et sur le plan
économique désastreux pour nos paysans.
Ce qui parait insupportable, c’est la
destruction volontaire d’un écosystème marin qui met en péril la faune
et la flore marine…
La preuve par l’image
12 mars
2013 : un cachalot tué par les plastiques
Rappel :
La destruction d’un écosystème devrait être passible de lourdes sanctions en
passant devant des tribunaux pour crime d’écocide
Bientôt dans la
loi ?
Le crime d’écocide y est
défini comme « toute action concertée et délibérée tendant à
causer directement des dommages étendus, irréversibles et irréparables à un
écosystème, commise en connaissance des conséquences qui allaient en résulter
et qui ne pouvaient être ignorées ». Imprescriptible, il serait puni
de vingt ans d’emprisonnement et de dix millions d’euros d’amende ou, dans le
cas d’une entreprise, de 20 % du chiffre d’affaires annuel mondial total
de l’exercice précédent.
La
proposition de loi introduit aussi le crime de provocation à un écocide (sept
ans de prison et cinq millions d’euros d’amende si la provocation a été suivie
d’effets, deux ans de prison et 100.000 euros d’amende sinon) et celui de
participation à un groupement formé en vue de la préparation d’un écocide
(vingt ans de prison, 10 millions d’euros d’amende ou 20 % du chiffre
d’affaires). Sont également prévus la création d’un délit d’« imprudence
caractérisée ayant contribué à la destruction grave d’un écosystème » consistant
à « violer une obligation particulière de prudence ou une règle de
sécurité prévue par la loi ou le règlement ayant causé des dommages directs,
étendus, irréversibles et irréparables à un écosystème » (cinq
ans de prison, un million d’euros d’amende ou 10 % du chiffre d’affaires)
et un renforcement des sanctions pénales environnementales (doublement des
peines de prison et des amendes prévues par le Code de l’environnement).
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