Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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jeudi 30 janvier 2020


L'Andalousie : l'usine à légumes de l'Europe


Reportage LCI


Il semblerait que nos dirigeants européens ont choisi  une certaine forme de courage…et d’abnégation  pour continuer à fermer les yeux. !

Pourtant la situation est grave et cela se passe aujourd’hui en Europe, sous nos yeux…avec une forme d’esclavage moderne sur une main-d’œuvre affamée et  bon marché.
Sur le plan sanitaire tout est à craindre pour la santé humaine et  sur le plan économique désastreux pour nos paysans.

Ce qui parait insupportable,  c’est la destruction volontaire d’un écosystème marin qui met en péril la faune et la flore marine

La preuve par l’image
12 mars 2013 : un cachalot tué par les plastiques



Rappel : La destruction d’un écosystème devrait être passible de lourdes sanctions en passant devant des tribunaux pour crime d’écocide

Bientôt dans la loi ?
Le crime d’écocide y est défini comme « toute action concertée et délibérée tendant à causer directement des dommages étendus, irréversibles et irréparables à un écosystème, commise en connaissance des conséquences qui allaient en résulter et qui ne pouvaient être ignorées ». Imprescriptible, il serait puni de vingt ans d’emprisonnement et de dix millions d’euros d’amende ou, dans le cas d’une entreprise, de 20 % du chiffre d’affaires annuel mondial total de l’exercice précédent.
La proposition de loi introduit aussi le crime de provocation à un écocide (sept ans de prison et cinq millions d’euros d’amende si la provocation a été suivie d’effets, deux ans de prison et 100.000 euros d’amende sinon) et celui de participation à un groupement formé en vue de la préparation d’un écocide (vingt ans de prison, 10 millions d’euros d’amende ou 20 % du chiffre d’affaires). Sont également prévus la création d’un délit d’« imprudence caractérisée ayant contribué à la destruction grave d’un écosystème » consistant à « violer une obligation particulière de prudence ou une règle de sécurité prévue par la loi ou le règlement ayant causé des dommages directs, étendus, irréversibles et irréparables à un écosystème » (cinq ans de prison, un million d’euros d’amende ou 10 % du chiffre d’affaires) et un renforcement des sanctions pénales environnementales (doublement des peines de prison et des amendes prévues par le Code de l’environnement).

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