Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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dimanche 2 mars 2014

12 décembre 2013 : Sur le Bassin d'Arcachon, on évoque également les micropolluants.‏

FLASH INFO

Le Comité de Vigilance de Biscarrosse a fixé à l'occasion de sa dernière réunion du 27 novembre 2013 la date de la prochaine conférence-débat qui doit se tenir le samedi 28 juin 2014 à 14 h au Centre Culturel l'Arcanson de Biscarrosse avec comme thème :

- La présence de micropolluants dans notre environnement et les enjeux pour l'épuration.

Sur le Bassin d'Arcachon, le SIBA évoque également les micropolluants et les actions à mener…

(Lire plus bas l'article du SUD OUEST)

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Publié dans le SUD OUEST DU 11/12/2013 Par Bernadette Dubourg
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Bassin d'Arcachon : un programme pour lutter contre la pollution de l'eau

Après le programme Repar, qui traque les pesticides dans les eaux du bassin d’Arcachon, le Siba lance Rempar contre les micropolluants des eaux usées et des eaux pluviales

Michel Sammarcelli a exceptionnellement présidé le conseil du Siba, lundi, à la Cobas. (PHOTO B. D.)

«C’est la première fois que je m’assois dans le fauteuil du président de la Cobas », a plaisanté, lundi soir, le maire de Lège-Cap-Ferret et président du Siba, Michel Sammarcelli. Lundi, en effet, le conseil du Syndicat intercommunal du bassin d’Arcachon s’est exceptionnellement délocalisé au siège de la Cobas à Arcachon, en raison de travaux en cours dans ses propres locaux.
En préambule du conseil, la directrice des services, Sabine Jeandenand, a présenté le projet Rempar. Sur le modèle du réseau Repar.
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Petit rappel. Repar (Réseau Pesticides bassin d’Arcachon), animé par le Siba, en collaboration avec Ifremer, l’agence de l’eau, le ministère de l’Agriculture, l’université de Bordeaux 1 et l’Irstrea, mène des recherches et des actions pour identifier et limiter l’utilisation et la présence de pesticides dans les eaux du Bassin : « En trois ans, ce réseau innovant est montré en exemple au niveau national et reconnu aussi bien par les scientifiques que par les gestionnaires ».
Lundi, les élus ont d’ailleurs voté la poursuite du programme avec l’adoption d’une nouvelle convention-cadre pour trois ans. Dans le même temps, le Siba lance également une action « Haro sur les phytos ! » à destination des particuliers mais aussi des communes pour limiter l’emploi des produits phytosanitaires sur les espaces verts, les terrains de sport, et même dans les cimetières.
Dans le même esprit que le réseau Repar, le Siba lance un réseau Rempar (pour Réseau micropolluants bassin d’Arcachon) qui, comme son intitulé l’indique, veut rassembler professionnels, scientifiques et responsables locaux pour identifier puis limiter la présence et l’impact de micropolluants dans les eaux usées et les eaux pluviales du Bassin. Ce réseau « ambitieux et volontaire » va réunir Ifremer, l’Epoc, l’INP de Toulouse, l’agence de l’eau Adour Garonne, le pôle de santé de la Teste de Buch, Smurfit Kappa et Eloa, autour du Siba, animateur du réseau.
Autre sujet d’importante, le budget 2014 qui sera voté en février, lors du prochain et dernier conseil de la mandature. Lundi soir, la sénatrice maire de Gujan-Mestras, Marie-Hélène des Esgaulx, a présenté les grandes orientations de ce budget « sans augmentation de la participation des communes et avec des investissements conséquents ».
Parmi les investissements, on note 1,76 M d’euros pour le traitement des eaux pluviales, 1 M pour le réensablement des plages (lire par ailleurs), 600 000 euros pour le désenvasement des ports, 490 000 euros pour les travaux de dragage hydraulique. Mais aussi, dans le cadre de l’assainissement des eaux usées, près de 5 M d’euros pour la poursuite des travaux de doublement et de réhabilitation du collecteur principal, 4,3 M pour les réseaux de collecte, 3 M pour les stations d’épuration ou encore 3 M d’euros pour les stations de pompage. « On peut être serein, la masse d’investissements nous permet d’avoir des outils performants. C’est notre politique, voulue depuis des années » conclut le président Michel Sammarcelli.
« Je suis ravie de présenter ce budget, car c’est peut-être la dernière fois », a risqué Marie-Hélène des Esgaulx. « Mais non, Marie-Hélène », l’a rassurée le président du Siba. Ils seront encore tous là en février. Mais peut-être plus en mars.

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