Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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mercredi 11 septembre 2013

26 mai 2010 : Réponse à l'émission "Du poison dans l'eau du robinet"

l’Info Comité de Vigilance-Collectif Aquitain du 25 mai 2010 « DU POISON DANS L'EAU DU ROBINET » a suscité 3 réactions :
     a) Alain Nobécourt, Chef de projet bilan des consommations d’énergie et des émissions de gaz à effet de serre(PFDM1) au Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer, il nous invite à consulter pour information le site gouvernemental sur la qualité des eaux potables :
Le Comité de Vigilance de Biscarrosse a été très sensible à sa présence au cours de la conférence du samedi 24 avril 2010 à Biscarrosse-Plage « En finir avec les rejets polluants en Mer »
b) Jean-Noël Salomon, Géographe, Professeur à l’Université de Bordeaux 3 Michel de Montaigne nous propose pour information en (P.J) une étude « Etat des eaux ». Le Professeur Salomon est venu à Biscarrosse le 27 avril 2008 animer une conférence « Dunes et Rivages » avec Joachim Oyarzabal, Directeur adjoint au Service de l’Environnement du Conseil Général des Landes et Jean Favennec, Chef de Mission « ONF Littoral »

    c) Caroline Creton, Chargée de mission "Eau" auprès des APNE du bassin Adour-Garonne - FNE Midi-Pyrénées -Fédération régionale des Associations de Protection de la Nature et de l'Environnement fait part de son commentaire :
Ce film a le mérite de mettre en exergue des problèmes et dysfonctionnements importants, voire inquiétants, en matière de qualité de l'eau distribuée. Il montre que nous devons rester vigilants et exiger des services de l'Etat et des collectivités le respect des normes sanitaires européennes, ainsi que plus de transparence.
Toutefois, le côté "alarmiste" du film m'interroge quant aux réactions prévisibles du grand public : il fait naître un sentiment de suspicion fort envers l'eau du robinet, ce qui devrait naturellement inciter les gens à se reporter sur l'eau en bouteille, instinctivement plus "sûre". Or l'eau en bouteille est bien moins contrôlée que l'eau du robinet, sans parler du problème des déchets plastiques... Je regrette donc qu'une partie du film n'ait pas été consacrée à la qualité des eaux embouteillées et au rééquilibrage du message.
Malgré ces réserves, je vous encourage à le visionner. Par ailleurs, pourquoi ne pas organiser des conférences grand public sur le sujet où introduire la réflexion sur l'eau embouteillée ? Ce film me paraît être un support intéressant pour les APNE.

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